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Tandis que les petites mains s'activaient pour passer les plats, Philippe Mitre n'a pas manqué de faire l'éloge des fourchettes, des couteaux des poivrières et des salières. Grâce à ses poèmes, les objets inanimés ont plus qu'une âme. Suivez les périples de nos troubadours sur leurs sites: http://martialrobillard.com http://jilber.fr
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Une soirée dédiée aux histoires de faubourg qui a attiré et interessé un très large public. Après la présentation des ouvrages la soirée s'est prolongée dans la brasserie où une trentaine de convives ont pu déguster en compagnie des auteurs, quelques spécialités proposées par Khadouj , notre hotesse en ce lieu. Une formule de soirée riche en échanges découvertes et rencontres que tous les participants nous ont encouragé à renouveller.
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LA COUR DE L'IMAGINAIRE
Dans le cadre d'un café littéraire organisé au restaurant le LEZ'ART le prix de LA COUR DE L'IMAGINAIRE a été remis à Bertrand BENY pour son roman "LES CHEMINS D'OBSIDIENNE".
Cette rencontre était animée par Pierre STOLZE, écrivain , critique littéraire pour la revue GALAXIES et Hélène CRUCIANI, lauréate 2016 du prix IMAGINERIAH.
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Interview de Pierre STOLZE Ecrivain et critique S.F. Interview de Hélène CRUCIANI Lauréate 2016 du prix "la Cour de l'Imaginaire". |
Interview de Bertand BENY Lauréat 2017 Interview Emmanuel MILLET Editeur du prix 2017. |
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DES ARTS ET DES MOTS
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Les soirées de l'association "Des Arts et des Mots" animée par Katy Loby attirent toujours un public enthousiaste et nombreux. | ||
SYLVAIN SELLIER
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Belle assistance ce vendredi 28 avril pour la reprise de notre activité "Le livre du mois". Au cours d'une soirée très conviviale organisée chez O3B, un restaurant de la rue de la Commanderie, nous avons fait la connaissance de Sylvain Sellier, nouvel auteur publié par les éditions Nereiah. En suivant l'itinéraire d'un briquet, l'auteur construit son intrigue d'une façon originale et nous donne à découvrir dans un quartier attachant, une galerie de personnages pittoresques . | ||
Il persiste dans toutes les villes de France, qui tendent à se déshumaniser à la vitesse où elles se modernisent, un quartier comme celui-ci. Ni beau, ni remarquable par son architecture, ne bénéficiant pas d’une Histoire plus riche qu’ailleurs, il n’existe que par le notable foisonnement des caractères qui l’habitent.
Ce texte n’a d’autre but que leur rendre estime . | ||
Parallèlement, c’est un objet des plus anodins, un simple briquet, qui suivra un chemin similaire, par le biais d’une retraitée, d’un peintre maudit et de sa compagne, d’une femme battue et de son mari, d’une serveuse et d’autres encore, qui guidera deux policiers complètement dépassés pour comprendre quelque chose à l’enquête qu’ils sont en train de mener. Plus encore que le récit, ce sont ses personnages qui importent. Des gens simples et en apparence presque quelconques, en somme extraordinaires
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